jeudi 8 avril 2021
La Langue Française à Montréal, une affaire de bon sens!
mercredi 31 mars 2021
On ne parle pas pour parler, pour ne rien dire!
31 mars 2021
On ne parle pas pour parler, ou pour ne rien dire.
Les élections municipales du 7 novembre prochain, approchent à la vitesse grand V.
J'écoute les envolées emphatiques de ces politiciens si médiatisés, qui nous servent des phrases ronflantes, autour des thématiques du vivre ensemble, des approches songées au sujet de la place, de la visibilité que doit avoir une grande ville. De projets évasifs, racoleurs, et de visées prophétiques que nous servent ces messies des deux sexes, afin de faire de Montréal une magnifique utopie, aux accents mondialistes... du pur gnangnan.
Passons aux choses sérieuses. Réparer et réhabiliter les infrastructures de la ville. Aqueducs, drains pluvieux, égouts. Travailler la nuit quand il n'y a pas de circulation, et rétablir les passages piétonniers, auto, autobus et cyclistes, partout ou il est possible de le faire pendant le jour. Maintenir cet effort en permanence. On se souvient que Mme Plante nous avait fait miroiter l'intervention de brigades de la circulation... oui bon enfin, il semble que cela relevait du vœu pieux. Qu'il y ait une autorité obligé de faire avancer rapidement les choses. Pour cela il faut du monde. De préférence des cols bleus. La ville devra augmenter son personnel qualifié, ses ingénieurs, et se trouver du matériel aux meilleurs coûts, en achetant local, ici au Québec, d'entreprises québécoises, et de proximité.
Le problème des rapports entre la Police et les citoyens.
Le premier qui dérape, ne se verra pas excusé, au prétexte qu'il est mal formé. S'il n'a pas assez de jugeote pour comprendre les bases minimalistes de la compassion, de l'empathie, du raisonnement courtois. S'il n'a que ses peurs, ses préjugés, son ignorance à nous offrir, comme excuses de ne pas pouvoir faire son travail comme il faut, qu'il prenne la porte, et aille se trouver un emploi dans lequel il n'entrera pas en contact avec des humains.
Toutes ces émissions de télévisions, ces films, ces feuilletons ridicules, autour du métier de ces policiers, qui ont toujours le pistolet à la main pour se faire comprendre, braqué à bouts de bras alors qu'ils hurlent des ordres hystériques, à des citoyens suspects, désarmés, verts de peur, qu'un coup parte, a quelque chose d'irréel, de complètement disjoncté. Ce sont autant de niaiseries funestes, qui prouvent que les policiers dans l'ensemble sont des malheureux, à qui il ne faut pas trop en demander. En fait on doit se contenter de leur demander ce que l'on exige du citoyen moyen.
C'est pathétique et très dangereux, quand ces fonctionnaires galonnés, en plus de si peu comprendre, sont armés jusqu'aux dents. Ce qui semble impossible à faire entrer dans ces têtes policières obtuses, est que l'itinérance, les dépendances, les crises familiales, les délires fantasmatiques, relèvent de la maladie, pas de la criminalité.
La vie civique
Quand de stupides spéculateurs-promoteurs s’ingénient à saccager ce cadre de vie, discutant sournoisement avec des autorités complaisantes, des changements de zonages incongrus, qui bouchent la vue à des gens paisibles, dont on saccage la tranquillité, il faut résister et aussi sévir. Et non pas comme on le fait trop souvent, temporiser avec des filous, des malins, ménager des riches qui ont le bras long et le pied pesant. Si, aggravant le désordre, les élus s'accoquinent avec des malfrats, au prétexte d'aventures bizarres, fourbes et intéressées bassement (projet Contrecœur, compteurs d'eau) il faut les déloger des postes qu'ils occupent illégitimement. Les rendre imputables.
Ramassez vos déchets, n'ennuyez pas vos voisins avec du tapage. N'accaparez pas les lieux publics. Apprenez le partage. Faites-vous discrets et empressés quand c'est évident et nécessaire. Participez à la vie sociale. Impliquez-vous dans des organismes de bénévolat (pas d'exploitation des gens disponibles).
À suivre...
Clément Sauriol
mercredi 24 mars 2021
Maudit base-ball, maudit stade, maudite niaiserie !
Montréal le 24 mars 2021
Le base-ball, son stade, ses œuvres et ses pompes, ne m'inspirent que des hauts le cœur.
Le lamento des milliardaires quêteux!
Si ce n'est pas rentable en termes de redevances au guichet, puis en profits sur les diffusions médiatiques, on se demande pourquoi la Ville de Montréal... ou le Gouvernement du Québec... devraient payer un tel bâtiment, à des consortiums archi riches, qui se sucreront avec les quelques rendements, et laisseront les déficits aux citoyens québécois?
A contrario, si c'est payant, on voit encore moins pourquoi les gouvernements devraient s'embarquer dans de telles mésaventures? Si c'est rentable, et que le public... qui n'allait pas aux parties des Expo au Stade Olympique, toujours vide de spectateurs à l'époque...participe... alors la ville et les gouvernements toucheront des taxes et des redevances sur les profits, comme il se doit.
L'argument pour financer ce stade à même des fonds publics, qui veut que le gouvernement va toucher de gros impôts sur les salaires des joueurs, ne tient pas. Puisque si c'est le Privé qui finance le stade, les gouvernements toucheront quand même les impôts qui leurs sont dus, et ce sans devoir au préalable débourser un milliard pour financer une patente coûteuse et risquée. Si sans cette aide financière gouvernementale, le projet n'est pas faisable, c'est qu'il n'est pas rentable au départ. CQFD!
Dans ce dossier, la complaisance annoncée par le gouvernement Legault, qui se dit ''ouvert'' à un financement public, tient du cauchemar. Il faudra pour bloquer cette dérive hallucinante, un immense refus social, du genre qui s'oppose aux folies pétrolières, comme l'oléoduc Trans-Canada-Énergie-Est, ou celui du gazoduc du projet SLN au Saguenay.
Les pleins-de-fric qui veulent ce stade, n'ont qu'à se le payer et à le rentabiliser. Quant à moi, comme citoyen, je m'oppose à ce que mes gouvernements investissent un seul 5 cennes de mes taxes dans cette galère.
Nous avons besoin de ces quelques 500 millions de dollars (anticipés) et probablement encore plus, pour construire des logements sociaux. Pas pour taper sur des ba-balles avec un bâton. Et y vendre des roteux (hot-dogs) et du Pepsi. C'est non, niet, zéro!
Rien ne presse pour le moment. Au téléjournal de Radio Canada, aujourd'hui 23 mars 2021, station de télévision qui n'a pas que des défauts, deux ''experts'' du monde du base-ball, ont fait la démonstration analytique que ce projet de stade n'est pas viable. C'est une aventure qui ne vaut pas la peine que l'on s'y attarde. Gouffre financier assuré. À proscrire. Hé ben bravo! Une fois n'est pas coutume.
Histoire de bien me situer dans cet épouvantable feuilleton, j'irais jusqu'à exiger qu'un tel stade ne soit jamais construit. L'endroit convoité pourrait être mieux utilisé, en en faisant une cité locative sous gestion de l'Office d'Habitation. Il y a là de quoi construire des centaines de logis abordables.
Quant à une équipe de base-ball, si les promoteurs y tiennent, elle ira au Stade Olympique.
Les propriétaires de la franchise y payeront un loyer décent, et les gouvernements toucheront sur les salaires des joueurs et autres revenus, tout ce qui leur est dû en fait de taxes et d'impôts. Sans accorder la moindre subvention, et le moindre échappatoire fiscal, genre congé de taxes.
On sait très bien qui, parmi les prétendants au poste de Maire de Montréal, a déjà fait de cet éventuel gaspillage de fonds publics, un de ses chevaux de bataille. Si Denis Coderre aime tant le base-ball, il peut se faire une ligue de garage, et aller y jouer les fins de semaine en été, avec ses copains, sur un des nombreux champs qui parsèment la région métropolitaine. Laisse faire le stade, nous n'en avons pas besoin, mais là pas pantoute!
Ils en ont construit un stade à Québec, au prétexte que la ville allait recevoir une franchise de hockey. Elle est où la franchise? Quelque part dans les limbes des choses inabouties.
Et puis à bien y penser... ça sert à quoi un stade de base-ball quand il n'y a pas de base-ball?
Tu ne peux quand même pas y tenir des parties chaque jour, à l'année ?
Donc la plupart du temps, ce sera un équipement (coûteux) qui ne servira à rien.
Ah oui, puis il y a l'argument de la visibilité internationale de Montréal ? Avec du base-ball? Ben voyons donc! Des villes qui ont des équipes de ceci et cela, se comptent par milliers dans le Monde, et on s'en fout totalement.
J'en ai ras le bol de ce stade. Ça me donne de l'urticaire au cerveau!
Clément Sauriol
dimanche 21 mars 2021
SOYEZ PRÊTS POUR L'ÉLECTION DU 7 NOVEMBRE 2021 À MONTRÉAL
Montréal, le dimanche 21 mars 2021
L'élection de l'après pandémie à Montréal, sera l'occasion de redonner la ville aux gens de la métropole.
vendredi 14 août 2020
Être ou ne pas être candidat?
Être ou ne pas être candidat?
Montréal le vendredi 14 août 2020
J'ai essayé comme indépendant, je pourrais me réessayer comme chef de parti. Je vous proposerai des noms mais ne vous gênez pas si vous avez des suggestions. Il faut avoir une certaine empathie pour nos semblables, pour vouloir se dévouer au Bien Public. Sachant quoique l'on fasse, quoique l'on dise, on va se faire couvrir de critiques baveuses, gluantes, d'insultes, à chaque fois où l'on n'arrivera pas à livrer une marchandise annoncée, qui va se heurter au réalisme de la politique. Je ne pense pas être masochiste, mais franchement je me pose la question. Quand j'en parle à mon psy intérieur il éclate de rire, et se moque de moi. Le sacripant! Rire...
Parlant un après-midi récent avec des camarades, on me pose la question de savoir si, à défaut de pouvoir offrir un parti aux montréalais, j'accepterais de travailler avec les partis existants, au cas où on me le demanderait?
La réponse est oui. Me connaissant on saurait à l'interne que j'ai un caractère indépendant. De mon côté, je me dis que tant qu'à vouloir m'impliquer, je serais plus utile élu. Soit avec le parti au pouvoir, ou dans l'opposition. Ainsi je pourrais me faire entendre sans me sentir obligé de cautionner tout ce que diraient les partis impliqués. Si je demeure un citoyen sans statut politique, sans être élu d'une façon ou d'une autre, j'aurai beau dire et beau faire, personne ne m'écoutera parce que personne ne m'entendra.
Est-ce que cela veut dire que j'irais jusqu'à accepter de travailler avec Mme Plante, ou Denis Coderre, si celui-ci avait des velléités de se représenter, ou d'autres à venir ? Ben non, parce que ces personnes ne m'ont jamais approché. Et j'ai accepté de me présenter avec Gilbert Thibodeau dans le parti Action Montréal. Évidemment que si Mme Plante était réélue, ou Denis Coderre, et qu'étant également élu je me retrouverais dans l'Opposition, je ferais contre mauvaise fortune bon coeur, et je tâcherais de me rendre utile. A contrario si Action Montréal était porté au pouvoir en 2021, il faudrait bien sur tenir compte de l'Opposition.
Je ne compte plus les citoyens qui se lamentent à tous les microphones, à toutes les tribunes, afin d'exiger qu'on les serve avec la plus grande diligence, au meilleur prix, de façon que leurs existences en soient facilitées, et qu'ils et elles, puissent jouir d'une telle liberté... à n'en savoir que faire.
Hé dites donc les amis, on fait avec ce que l'on a.
Puis on se satisfait de tout critiquer, sans jamais devoir s'impliquer ?
Pas fort, mais que faire de plus que ce dont on est capable ? Essayez pour voir, si vous êtes si malins.
Que l'on me comprenne bien ici. Mme Valérie Plante a été démocratiquement élue, et M. Denis Coderre jongle peut-être avec la possibilité d'un retour sur la scène municipale. Il y a aussi d'autres citoyens très peu connus, un peu dans mon genre, qui se préparent à investir la prochaine élection. Certains ont déjà retenus des noms de partis auprès du Directeur Général des Élections de Montréal.
Un certain M. Gilbert Thibodeau m'a contacté, histoire de voir dans quelle mesure nous pourrions travailler ensemble à la prochaine élection ? M. Gilbert Thibodeau tient une page Facebook, dans laquelle il aborde des problématiques qui me touchent, et annonce qu'il veut briguer la Mairie de Montréal en 2021. Je lui ai proposé de le rencontrer et j'attends sa réaction. Certains m'ont demandé de renoncer à me présenter, et plutôt d'aller bénévolement les aider à se faire élire.
Il n'en est pas question. J'ai déjà donné. Si je ne me présente pas, et si ma candidature n'intéresse personne, je déciderai de la suite des choses. Pour le moment je demeure ouvert et disponible. Je n'aime pas la façon dont les choses se font à Montréal, et ce depuis bien longtemps. Cependant la question du chef de parti ne se pose pas encore. Je pourrais en bonne démocratie me faire élire, sans nécessairement être le chef.
J'ai monté un programme que vous pouvez lire sur ce blogue, et qui donne à boire et à manger. Je me méfie des messies, des réformateurs illuminés, et de ceux et celles qui pour se mettre en valeur, vilipendent leurs adversaires.
La plupart des gens qui se présentent aux élections détiennent une partie des solutions aux problèmes d'une grande ville comme Montréal. On peut ne pas être d'accord avec eux et elles, ce ne sont pas pour autant des scélérats et des sottes, à traiter de manière méprisante. Pas un seul citoyen(ne) ne peut faire l'unanimité dans une représentation politique. Les bons, sont ceux et celles capables d'agencer un équilibre entres les intérêts convergeant et pourquoi pas aussi divergeant. La politique est l'art du possible, pas du tout une foire aux miracles et aux envolées emphatiques. J'ai beaucoup de respect pour ceux et celles qui s'impliquent, même si je ne suis pas d'accord avec leurs vues. Ce pourquoi je pense à me présenter. Je ferai mon possible et que l'on ne m'en demande pas plus.
Farces à part, vous pensez bien qu'il est peu probable que les partis en place, que ce soit au pouvoir ou dans l'opposition, ne viendront solliciter ma participation à leurs visions des choses. Ce n'est pas tant leurs programmes qui me rendent incompatible, mais plutôt leurs façons de faire de la politique. Un coopérant dans mon genre irait chercher tous les meilleurs talents, à la fois chez ceux qui détiendraient le pouvoir et dans l'Opposition, et ça ce n'est pas dans le droit fil de la politique partisane.
C'est par respect pour la démocratie que je suppose des scénarios de coopération, mais je sais bien que dans la vraie vie, avec les chicanes d'égos, le Bien Commun passe au dernier plan des préoccupations des carriéristes et des arrivistes. C'est humain, mais ce n'est pas le meilleur de l'humain, on s'entend ! Seulement il n'est pas interdit d'espérter changer les choses pour du mieux.
Sachant toutefois, peu importe que cela aille de soi, que nous ne sommes que de passage, et qu'au cours d'une vie, on doit et on peut faire son possible comme je le disait plus haut. Une ville ce n'est pas une entreprise, c'est un OSBL... un lieu de vie commune. Le vrai profit qu'elle doit générer pour ses citoyens, est un cadre de vie le plus harmonieux possible.
Clément Sauriol
jeudi 2 juillet 2020
Les élections municipales 7 novembre 2021
À noter tout d'abord :
Le Directeur Général des Élections du Québec (DGEQ), a précisé que les interventions politiques effectuées en dehors d’une campagne électorale par une organisation, qui n’est pas un parti politique, ne tombent pas sous sa responsabilité.
Nous avons les gouvernements que l'on mérite! Pas que l'on souhaiterait!
lundi 4 mai 2020
Mise à jour 4 mai 2020
L'ordinateur s'étant planté et les mots de passe effacés il m'a fallu tout reprendre et tout reconstruire. Par bonheur les textes sont restés en mémoire.
Il y en aura d'autres.
À bientôt
Clément Sauriol