mercredi 24 mars 2021

Maudit base-ball, maudit stade, maudite niaiserie !

Montréal le 24 mars 2021

Le base-ball, son stade, ses œuvres et ses pompes, ne m'inspirent que des hauts le cœur.

Le lamento des milliardaires quêteux!


Ils reviennent à la charge, avec une armée de lobbyistes, afin de se faire payer un autre stade, pour un éventuel club de base-ball, dont la rentabilité est douteuse... ou bien elle ne l'est pas?

Si ce n'est pas rentable en termes de redevances au guichet, puis en profits sur les diffusions médiatiques, on se demande pourquoi la Ville de Montréal... ou le Gouvernement du Québec... devraient payer un tel bâtiment, à des consortiums archi riches, qui se sucreront avec les quelques rendements, et laisseront les déficits aux citoyens québécois?

A contrario, si c'est payant, on voit encore moins pourquoi les gouvernements devraient s'embarquer dans de telles mésaventures? Si c'est rentable, et que le public... qui n'allait pas aux parties des Expo au Stade Olympique, toujours vide de spectateurs à l'époque...participe... alors la ville et les gouvernements toucheront des taxes et des redevances sur les profits, comme il se doit.

L'argument pour financer ce stade à même des fonds publics, qui veut que le gouvernement va toucher de gros impôts sur les salaires des joueurs, ne tient pas. Puisque si c'est le Privé qui finance le stade, les gouvernements toucheront quand même les impôts qui leurs sont dus, et ce sans devoir au préalable débourser un milliard pour financer une patente coûteuse et risquée. Si sans cette aide financière gouvernementale, le projet n'est pas faisable, c'est qu'il n'est pas rentable au départ. CQFD!

Dans ce dossier, la complaisance annoncée par le gouvernement Legault, qui se dit ''ouvert'' à un financement public, tient du cauchemar. Il faudra pour bloquer cette dérive hallucinante, un immense refus social, du genre qui s'oppose aux folies pétrolières, comme l'oléoduc Trans-Canada-Énergie-Est, ou celui du gazoduc du projet SLN au Saguenay.

Les pleins-de-fric qui veulent ce stade, n'ont qu'à se le payer et à le rentabiliser. Quant à moi, comme citoyen, je m'oppose à ce que mes gouvernements investissent un seul 5 cennes de mes taxes dans cette galère.

Nous avons besoin de ces quelques 500 millions de dollars (anticipés) et probablement encore plus, pour construire des logements sociaux. Pas pour taper sur des ba-balles avec un bâton. Et y vendre des roteux (hot-dogs) et du Pepsi. C'est non, niet, zéro!

Rien ne presse pour le moment. Au téléjournal de Radio Canada, aujourd'hui 23 mars 2021, station de télévision qui n'a pas que des défauts, deux ''experts'' du monde du base-ball, ont fait la démonstration analytique que ce projet de stade n'est pas viable. C'est une aventure qui ne vaut pas la peine que l'on s'y attarde. Gouffre financier assuré. À proscrire. Hé ben bravo! Une fois n'est pas coutume.

Histoire de bien me situer dans cet épouvantable feuilleton, j'irais jusqu'à exiger qu'un tel stade ne soit jamais construit. L'endroit convoité pourrait être mieux utilisé, en en faisant une cité locative sous gestion de l'Office d'Habitation. Il y a là de quoi construire des centaines de logis abordables.

Quant à une équipe de base-ball, si les promoteurs y tiennent, elle ira au Stade Olympique.

Les propriétaires de la franchise y payeront un loyer décent, et les gouvernements toucheront sur les salaires des joueurs et autres revenus, tout ce qui leur est dû en fait de taxes et d'impôts. Sans accorder la moindre subvention, et le moindre échappatoire fiscal, genre congé de taxes.

On sait très bien qui, parmi les prétendants au poste de Maire de Montréal, a déjà fait de cet éventuel gaspillage de fonds publics, un de ses chevaux de bataille. Si Denis Coderre aime tant le base-ball, il peut se faire une ligue de garage, et aller y jouer les fins de semaine en été, avec ses copains, sur un des nombreux champs qui parsèment la région métropolitaine. Laisse faire le stade, nous n'en avons pas besoin, mais là pas pantoute!

Ils en ont construit un stade à Québec, au prétexte que la ville allait recevoir une franchise de hockey. Elle est où la franchise? Quelque part dans les limbes des choses inabouties.

Et puis à bien y penser... ça sert à quoi un stade de base-ball quand il n'y a pas de base-ball?

Tu ne peux quand même pas y tenir des parties chaque jour, à l'année ?

Donc la plupart du temps, ce sera un équipement (coûteux) qui ne servira à rien.

Ah oui, puis il y a l'argument de la visibilité internationale de Montréal ? Avec du base-ball? Ben voyons donc! Des villes qui ont des équipes de ceci et cela, se comptent par milliers dans le Monde, et on s'en fout totalement.

J'en ai ras le bol de ce stade. Ça me donne de l'urticaire au cerveau!

Clément Sauriol




dimanche 21 mars 2021

SOYEZ PRÊTS POUR L'ÉLECTION DU 7 NOVEMBRE 2021 À MONTRÉAL

Montréal, le dimanche 21 mars 2021

L'élection de l'après pandémie à Montréal, sera l'occasion de redonner la ville aux gens de la métropole.

Le parti politique Action Montréal m'a approché il y a quelques mois, pour que je me présente dans Villeray- Saint-Michel. 
 
Après avoir pris connaissance des objectifs d'Action-Montréal, j'ai apprécié le ton qui veux que les élus soient à l'écoute des citoyens, quartier par quartiers. 
 
On est loin ici d'une vision centralisatrice, comme c'est le cas actuellement, et le sera encore plus, si certaines personnalités décident de revenir nous hanter avec des mégas projets, et des politiques prétendument de prestige, qui n'apportent rien de neuf à la métropole du Québec. 
 
Suivez cette évolution des choses sur ma page Facebook, et allez faire un tour sur celles des candidats d'Action Montréal. 
 
Ne vous laissez pas impressionner par des discours emphatiques et des promesses racoleuses. La Ville de Montréal appartient à ses citoyens... locataires, propriétaires... innombrables et indispensables petits commerçants de proximité, et doit rayonner dans le Monde comme métropole Francophone, autant culturellement qu'économiquement... du Québec.
 
Clément Sauriol
Candidat dans Villeray Saint Michel.

vendredi 14 août 2020

Être ou ne pas être candidat?

 

Être ou ne pas être candidat?

Montréal le vendredi 14 août 2020

J'ai essayé comme indépendant, je pourrais me réessayer comme chef de parti. Je vous proposerai des noms mais ne vous gênez pas si vous avez des suggestions. Il faut avoir une certaine empathie pour nos semblables, pour vouloir se dévouer au Bien Public. Sachant quoique l'on fasse, quoique l'on dise, on va se faire couvrir de critiques baveuses, gluantes, d'insultes, à chaque fois où l'on n'arrivera pas à livrer une marchandise annoncée, qui va se heurter au réalisme de la politique. Je ne pense pas être masochiste, mais franchement je me pose la question. Quand j'en parle à mon psy intérieur il éclate de rire, et se moque de moi. Le sacripant! Rire...

Parlant un après-midi récent avec des camarades, on me pose la question de savoir si, à défaut de pouvoir offrir un parti aux montréalais, j'accepterais de travailler avec les partis existants, au cas où on me le demanderait?

La réponse est oui. Me connaissant on saurait à l'interne que j'ai un caractère indépendant. De mon côté, je me dis que tant qu'à vouloir m'impliquer, je serais plus utile élu. Soit avec le parti au pouvoir, ou dans l'opposition. Ainsi je pourrais me faire entendre sans me sentir obligé de cautionner tout ce que diraient les partis impliqués. Si je demeure un citoyen sans statut politique, sans être élu d'une façon ou d'une autre, j'aurai beau dire et beau faire, personne ne m'écoutera parce que personne ne m'entendra.

Est-ce que cela veut dire que j'irais jusqu'à accepter de travailler avec Mme Plante, ou Denis Coderre, si celui-ci avait des velléités de se représenter, ou d'autres à venir ? Ben non, parce que ces personnes ne m'ont jamais approché. Et j'ai accepté de me présenter avec Gilbert Thibodeau dans le parti Action Montréal. Évidemment que si Mme Plante était réélue, ou Denis Coderre, et qu'étant également élu je me retrouverais dans l'Opposition, je ferais contre mauvaise fortune bon coeur, et je tâcherais de me rendre utile. A contrario si Action Montréal était porté au pouvoir en 2021, il faudrait bien sur tenir compte de l'Opposition.


Un parti politique doit être une courroie de transmission du Bien Commun. Ça n'est pas une fin en soi. Ce que je trouve désolant... pour me répéter... est de constater à quel point les gens aspirent à une administration d'une telle sanctification civique, qu'elle en serait le meilleur exemple d'une sorte de paradis sur Terre. 

Je ne compte plus les citoyens qui se lamentent à tous les microphones, à toutes les tribunes, afin d'exiger qu'on les serve avec la plus grande diligence, au meilleur prix, de façon que leurs existences en soient facilitées, et qu'ils et elles, puissent jouir d'une telle liberté... à n'en savoir que faire.

Hé dites donc les amis, on fait avec ce que l'on a. 

Puis on se satisfait de tout critiquer, sans jamais devoir s'impliquer ? 

Pas fort, mais que faire de plus que ce dont on est capable ? Essayez pour voir, si vous êtes si malins.

Que l'on me comprenne bien ici. Mme Valérie Plante a été démocratiquement élue, et M. Denis Coderre jongle peut-être avec la possibilité d'un retour sur la scène municipale. Il y a aussi d'autres citoyens très peu connus, un peu dans mon genre, qui se préparent à investir la prochaine élection. Certains ont déjà retenus des noms de partis auprès du Directeur Général des Élections de Montréal.

Un certain M. Gilbert Thibodeau m'a contacté, histoire de voir dans quelle mesure nous pourrions travailler ensemble à la prochaine élection ? M. Gilbert Thibodeau tient une page Facebook, dans laquelle il aborde des problématiques qui me touchent, et annonce qu'il veut briguer la Mairie de Montréal en 2021. Je lui ai proposé de le rencontrer et j'attends sa réaction. Certains m'ont demandé de renoncer à me présenter, et plutôt d'aller bénévolement les aider à se faire élire.

Il n'en est pas question. J'ai déjà donné. Si je ne me présente pas, et si ma candidature n'intéresse personne, je déciderai de la suite des choses. Pour le moment je demeure ouvert et disponible. Je n'aime pas la façon dont les choses se font à Montréal, et ce depuis bien longtemps. Cependant la question du chef de parti ne se pose pas encore. Je pourrais en bonne démocratie me faire élire, sans nécessairement être le chef. 

J'ai monté un programme que vous pouvez lire sur ce blogue, et qui donne à boire et à manger. Je me méfie des messies, des réformateurs illuminés, et de ceux et celles qui pour se mettre en valeur, vilipendent leurs adversaires.

La plupart des gens qui se présentent aux élections détiennent une partie des solutions aux problèmes d'une grande ville comme Montréal. On peut ne pas être d'accord avec eux et elles, ce ne sont pas pour autant des scélérats et des sottes, à traiter de manière méprisante. Pas un seul citoyen(ne) ne peut faire l'unanimité dans une représentation politique. Les bons, sont ceux et celles capables d'agencer un équilibre entres les intérêts convergeant et pourquoi pas aussi divergeant. La politique est l'art du possible, pas du tout une foire aux miracles et aux envolées emphatiques. J'ai beaucoup de respect pour ceux et celles qui s'impliquent, même si je ne suis pas d'accord avec leurs vues. Ce pourquoi je pense à me présenter. Je ferai mon possible et que l'on ne m'en demande pas plus.

Farces à part, vous pensez bien qu'il est peu probable que les partis en place, que ce soit au pouvoir ou dans l'opposition, ne viendront solliciter ma participation à leurs visions des choses. Ce n'est pas tant leurs programmes qui me rendent incompatible, mais plutôt leurs façons de faire de la politique. Un coopérant dans mon genre irait chercher tous les meilleurs talents, à la fois chez ceux qui détiendraient le pouvoir et dans l'Opposition, et ça ce n'est pas dans le droit fil de la politique partisane.

C'est par respect pour la démocratie que je suppose des scénarios de coopération, mais je sais bien que dans la vraie vie, avec les chicanes d'égos, le Bien Commun passe au dernier plan des préoccupations des carriéristes et des arrivistes. C'est humain, mais ce n'est pas le meilleur de l'humain, on s'entend ! Seulement il n'est pas interdit d'espérter changer les choses pour du mieux.

Sachant toutefois, peu importe que cela aille de soi, que nous ne sommes que de passage, et qu'au cours d'une vie, on doit et on peut faire son possible comme je le disait plus haut. Une ville ce n'est pas une entreprise, c'est un OSBL... un lieu de vie commune. Le vrai profit qu'elle doit générer pour ses citoyens, est un cadre de vie le plus harmonieux possible.

Clément Sauriol 


jeudi 2 juillet 2020

Les élections municipales 7 novembre 2021


Montréal le jeudi 2 juillet 2020
Prochaines élections municipales au Québec.

À noter tout d'abord :

Le Directeur Général des Élections du Québec (DGEQ), a précisé que les interventions politiques effectuées en dehors d’une campagne électorale par une organisation, qui n’est pas un parti politique, ne tombent pas sous sa responsabilité. 

Les élections municipales prochaines se tiendront, si aucun changement majeur ne survient d'ici là, dans un peu plus d'un an, soit le 7 novembre 2021.

La participation électorale aux élections municipales au Québec est généralement anémique, ne dépassant pas les 50% d'électeurs qui se rendent aux urnes.

Comportement regrettable, qui prive la société de joueurs majeurs, lesquels ne se sentent pas suffisamment encouragés de se lancer dans une arène politique où le public est à moitié absent.

Pourtant les élections municipales touchent au plus près des préoccupations citoyennes. Ce sont des instances de proximité, autrement plus significatives dans la vie de tous les jours, que de plus grands enjeux ne le sont au provincial ou au fédéral.

On note d'ailleurs que là aussi, les taux de participations sont franchement érodés, oscillant entre 61% et 74% ces dernières années.
Il y a donc un fort contingent de citoyens qui à tous les niveaux, aux alentours  40 % à 55%  ne se sentent pas concernés par la démocratie participative.

Cela étant posé, on ne peut pas forcer les gens à participer à un exercice, qui selon certaines sources, tiendrait à ce que le public est moins informé, ne saisit pas vraiment les nuances partisanes, ne voit pas les contraintes et les avantages de telle ou telle politique.

Peut-on changer de pareilles attitudes ?
C'est à chacun de vous de répondre à cette interrogation.

Je vous souhaite les meilleurs gouvernements à tous les niveaux selon vos vœux, qui vous y participiez ou pas.

Nous avons les gouvernements que l'on mérite! Pas que l'on souhaiterait!

Au plaisir,

Clément Sauriol




lundi 4 mai 2020

Mise à jour 4 mai 2020

Montréal le 4 mai 2020

L'ordinateur s'étant planté et les mots de passe effacés il m'a fallu tout reprendre et tout reconstruire. Par bonheur les textes sont restés en mémoire.

Il y en aura d'autres.

À bientôt

Clément Sauriol

vendredi 1 novembre 2019

Marché Jean Talon en crise.

Montréal le mercredi 30 octobre 2019

Que se passe-t-il dans les marchés publics de Montréal?

Je ne fréquente avec assiduité que le Marché Jean-Talon auquel je vais limiter mon commentaire.

Comme beaucoup d'habitués du Marché Jean-Talon, j'ai constaté cet été pas mal de vides dans les lieux où habituellement il y a des étalages. J'estime ces vides, remplacés par des tables à pic-nic, a quelques 25% de l'espace disponible. Pour un marché de cette importance c'est considérable. Je me suis informé auprès de ceux qui demeuraient, et en premier lieu une augmentation significative des loyers en aurait découragé pas mal. D'autres qui demeurent pendant toute la saison d'été, ne sont restés que quelques semaines avant de quitter les lieux. Trop cher.

Les médias m'apprennent ce matin, que lors de la reconfiguration du Marché pour l'hiver, qu'au moins le quart dit-on des locataires ne respecteraient pas les règles, et dont les baux ne seraient probablement pas renouvelés. Ce qui met en danger la diversité des produits à venir. Il y a en ce moment des vides considérables à l'intérieur du Marché. Ce qui le rend presque lugubre. Certains parlent de guerre ouverte entre l'administration et ses locataires.
Quelles sont donc ces règles qui ne seraient pas respectées? S'agit-il de mesures d'hygiène, de modalités d'étalages, d'une politique des prix, de l'emballage? De loyers ? De conditions de sécurité ? D'autre chose... mais quoi? De directives émanant de la ville?

Je connais l'administration du Marché pour avoir récemment et par le passé, tenté d'obtenir des informations sur des espaces à louer, soit pour une journée ou quelques heures. Je ne peux pas dire que j'ai été traité avec efficacité, alors qu'on ne me répondait que plusieurs semaines après mes demandes.
D'autant plus que les prix pratiqués étaient pour le moins décourageants, en plus de fameuses règles dites de sécurité, qui tiennent bien plus de la tracasserie, que d'une nécessité quelconque.

Il règne maintenant au Marché Jean-Talon un climat de confrontation larvée, qui ne me dit rien qui vaille. Déjà que depuis quelque temps on a resserré les règles de participation à l'ambiance du marché, en limitant les prestations artistiques, surtout musicales.

En tant que citoyen de Montréal, je m'inquiète d'un état des choses pour le moins navrant. Après tout les marché publics sont la propriété de la ville, donc appartiennent aux citoyens payeurs de taxes.

Ce serait différent avec des entreprises privées, mais là, on a le droit de savoir ce qui se passe, et le devoir de demander des comptes si la bisbille met en danger ce joyau de notre patrimoine maraîcher.

Avons-nous affaire vraiment à 25% de délinquants parmi les locataires? Ou bien l'administration n'est-elle pas trop tatillonne ou intransigeante, là où elle devrait chercher à améliorer les choses, et favoriser un climat de bonne entente pour le profit de tous?
Je connais assez les administrations pour devoir me tenir sur mes gardes, lorsque celles-ci annoncent des manquement supposés au sujet de leur pouvoir, qui peuvent très bien ne pas être autre chose que
des pratiques de petit pouvoir de potentats de bureaux, qui se donnent de l'importance.
J’espère que ce n'est pas le cas.

Affaire à suivre...
Clément Sauriol
Candidat à la mairie de Montréal en 2013...clement.sauriol@gmail.com

jeudi 5 septembre 2019

La rentrée de 2019

Pour 2019 déjà bien entamé, se profile sur le recommandation d'ami(e)s et de coopérants qui me sont chers, le projet de fonder pour les prochaines élections à Montréal un parti politique qui serait  plus crédible et nettement plus efficace que la simple candidature de votre serviteur.

Il y a toujours place en politique pour  de la bonne volonté et la pluralité des participations favorise une démocratie en santé.

Cette réflexion ne fait que commencer. J'aurai l'occasion dans ces pages d'élaborer un programme susceptible de faire éclore de nouvelles vocations politiques. Trois aspect seront considérés.

Y intégrer à titre de participants dynamiques les plus jeunes entre 18 et 30 ans qui poussent la société aux changements. En second lieu aller chercher les gens déjà munis d'expérience significative ayant des idées et la volonté d'agir au mieux du bien public. Je sais bien  que des cyniques nous diront que c'est une notion quelque peu désuète, mais foin des éteignoirs, faisons notre possible le reste suivra.

Puis il faudra faire une large place aux plus vieux et ce peu importe leur âge. Il  existe une sorte de condescendance larvée à l'égard des plus vieux qui ressemble presque à du mépris qui ne porte pas son nom. Or on sait que l'expérience réelle qui s'appuie sur une existence ouverte, curieuse, dynamique, représente un réservoir de savoir qui doit être utilisé. J'y reviendrai, d'autant plus qu'à
mon âge je suis concerné directement.

On se reparle, le plus tôt sera le mieux. Nous avons deux ans. C'est peu... c'est beaucoup!

Clément Sauriol