Je me présente aux
élections de Montréal en novembre 2013.
Pour communiquer avec moi:
sauriolclement@gmail.com
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sauriolclement@gmail.com
Cette démarche est
sujette à l’approbation du Directeur Général des Élections de Montréal en septembre 2013.
Les loisirs.
Que les services publics, les parcs, les patinoires, les piscines, tous
les lieux de loisirs publics soient ouverts les jours fériés et pendant les
heures où les citoyens ne sont pas au travail ou à l’école. Soit les
bibliothèques, les arénas, les auditoriums, les piscines, les gymnases, les
lieux réservés aux jeunes enfants sous surveillance, les éco-dépotoirs et ainsi
de suite. La priorité aux citoyens, pas aux employés.
Cela fait des décennies que pour des
motifs purement administratifs, qui n’ont rien à voir avec la raison d’être des
services publics, que l’on prive les Montréalais de l’essentiel de leurs
services de loisirs, surtout aux moments où ils ont le plus de temps pour les
utiliser, les soirs de la semaine, les fins de semaines et les jours fériés.
Bibliothèques.
Bibliothèques.
Ainsi on ferme les bibliothèques, les
arénas, les piscines, voire les parcs et les installations de loisirs en dehors
des heures de travail, parce que les fonctionnaires font du 9 à 5 comme tout le
monde, et que laisser les services ouverts
aux usagers en dehors des heures ‘’normales’’ de travail des fonctionnaires
coûterait trop cher,, parce qu’il faudrait ‘’parait-il’’ les payer en heures
supplémentaires.
C’est ainsi que l’on est confronté à
cette absurdité que les services publics sont accessibles pendant
les heures où l’écrasante majorité des citoyens ne peuvent pas en profiter,
justement parce que eux aussi travaillent.
Bien sur on ouvre les piscines le
soir parfois et aussi les bibliothèques, mais on les ferme pendant les jours
fériés. Sauf que les services dits de loisirs, c’est quand on a des loisirs qu’on
en a besoin non? Comment en sommes-nous arrivés à être obligés d’expliquer de
telles évidences?
Il faut impérativement soumettre tout
le personnel affecté aux loisirs à un régime de travail qui soit en conformité
avec la raison d’être des installations dites de loisir. Sans devoir être
obligé de les payer à des salaires plus élevés, aux prétextes fallacieux d’heures
de travail différentes. Ça ne tient pas debout une telle politique. C’est
carrément insensé.
Ou bien, quoique je sois contre cette
pratique, que l’on privatise tous ces loisirs, et qu’ainsi les gestionnaires
des loisirs les mettent à la disposition des citoyens contre des frais. C’est cela
que vous voulez? Non?
Bien moi non plus.
Bien moi non plus.
Il faut simplement faire preuve de
bon sens et rendre les services de loisirs disponibles, en fonction des temps
de loisirs. Pas besoin d’être grand penseur pour faire cela.
Ça se fait avec de la volonté
politique et un rien d’organisation. On connait les heures d’affluence et
celles des temps morts. On s’organise en conséquence, selon les lieux, les populations des arrondissements, et on peut aussi former des comités de citoyens bénévoles qui aideront
les employés de la ville pendant les heures de loisirs.
Bénévolat bien compris.
Bénévolat bien compris.
Qu’on ne vienne pas me dire que
des bénévoles enlèveraient du travail à des fonctionnaires. La ville appartient
aux citoyens, y compris que ceux et celles qui veulent donner leur temps pour
faire en sorte que les choses aillent mieux, ont certainement le droit de le faire.
Nous avons, particulièrement chez nos aînés, des tas de gens compétents qui se
tournent les pouces chez eux à ne rien faire, alors qu’ils ont de l’expérience
et des compétences. Bien évidemment bénévolat veut dire aussi que ces citoyens-là soient pris en charge par la ville. Il ne manquerait plus qu'ils soient obligés de payer leurs frais. Je pense ici à une forme de rétribution normale, du genre ''per diem''.
Ça aussi c’est du patrimoine et c’est
du patrimoine humain. Ça vaut son pesant d’or. Cela peut se récompenser en
reconnaissance officielle, en rétribution de compensations de frais de déplacements,
en soupers bénéfices et activités de promotion pour encourager leur bonne
volonté.
Combattre la solitude et l'ennui.
Combattre la solitude et l'ennui.
Les O.S.B.L. sont là pour ça.
Il n’y a pas de raison de s’en priver. Occuper les oisifs c’est aussi faire preuve de sens de bonne gestion au bénéfice que ces gens-là seront moins malades, moins centrés sur eux-mêmes, et trouveront du sens à donner à leurs existences. C’est du mieux pour chacun dans du meilleur pour tout le monde.
Les gens qui s’ennuient sont plus malades que ceux qui s’occupent, c’est bien connu. Et des malades vous le savez comme moi, ça engorge les urgences, ça coûte deux bras à soigner. En fait cela ne se soigne pas. L'ennuie, l'oisiveté sont à la source de tous les maux.
Il y a aussi de grands avantages à permettre à bien des bénévoles, jeunes et plus vieux, de s'impliquer dans les activités de leur ville. Cela améliore le sens de la participation, ça rapproche les gens, et cela doit être reconnu comme expérience admissible dans un CV, quand les citoyens engagés dans ces activités-là se présentent sur le marché du travail.
Dans la mesure où cette expérience est significative, elle trouvera preneur chez bien des entrepreneurs qui ont besoin de cette formation, et ne peuvent pas toujours l'offrir à leurs employés. Pensez-y. Il y a là des sentiers prometteurs à explorer.
Pour communiquer avec moi:
sauriolclement@gmail.com
Il n’y a pas de raison de s’en priver. Occuper les oisifs c’est aussi faire preuve de sens de bonne gestion au bénéfice que ces gens-là seront moins malades, moins centrés sur eux-mêmes, et trouveront du sens à donner à leurs existences. C’est du mieux pour chacun dans du meilleur pour tout le monde.
Les gens qui s’ennuient sont plus malades que ceux qui s’occupent, c’est bien connu. Et des malades vous le savez comme moi, ça engorge les urgences, ça coûte deux bras à soigner. En fait cela ne se soigne pas. L'ennuie, l'oisiveté sont à la source de tous les maux.
Il y a aussi de grands avantages à permettre à bien des bénévoles, jeunes et plus vieux, de s'impliquer dans les activités de leur ville. Cela améliore le sens de la participation, ça rapproche les gens, et cela doit être reconnu comme expérience admissible dans un CV, quand les citoyens engagés dans ces activités-là se présentent sur le marché du travail.
Dans la mesure où cette expérience est significative, elle trouvera preneur chez bien des entrepreneurs qui ont besoin de cette formation, et ne peuvent pas toujours l'offrir à leurs employés. Pensez-y. Il y a là des sentiers prometteurs à explorer.
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