mercredi 18 juin 2014

Propagande anti Québec? Ce n'est pas la première fois ! Ni la dernière !


Montréal le 17 juin 2014
LE PROJET D’INDÉPENDANCE SERAIT FAIBLE ?
Pauvre ? Dépassé ? Moribond ?
Et quoi encore ?
Quand de telles platitudes, qui ne sont que de la propagande anti Québec, sont véhiculées par La Presse, Le Soleil et consorts…ou encore quand ces niaiseries-là sont répétées et commentées par des fédéralistes plus ou moins notoires, on comprend qu’il y a là une volonté de saper le moral des troupes indépendantistes. 
Cependant il faut bien admettre que les fédéralistes étant de toute évidence opposés au projet d'indépendance du Québec, il va de soi qu'ils vont tout faire pour le discréditer ce projet.

Mais alors on peut et on doit se poser la question au sujet de ces indépendantistes plus ou moins notoires, plus ou moins mous et/ou engagés, qui se laissent subjuguer par une telle propagande, et qui s’aplatissent en répondant mollement à ces provocations ? Au lieu de faire une vigoureuse contre-attaque envers un fédéralisme envahissant, qui viole depuis toujours sa propre constitution, piétine sans vergogne les champs de responsabilités provinciales, et entretient un climat débilitant de peurs inventées, à coups de mensonges chroniques, et de politiques aberrantes?

Ce n’est pas seulement le propos débilitant qui fait fausse note dans le discours politique ambiant…mais bel et bien l’intention sournoise de discréditer constamment une approche politique absolument et parfaitement légitime. Et ce à coups de mensonges si énormes (‘’un’’ sondage insignifiant de 500 personnes commandé par La Presse, et 3 douzaines de commentaires affligeants), qu’on se demande comment il se fait que malgré tout, le mouvement indépendantiste, prend de l’ampleur ? Il y a 35 ans il n’y avait qu’un seul parti indépendantiste, le Parti Québécois. Il y en avait 3 dix ans avant, en y ajoutant le R.I.N. de Pierre Bourgault, ainsi que le Rassemblement National de Gilles Grégoire. Les indépendantistes ne représentaient alors que quelques 6 ou 8 % de l'électorat.


Aujourd’hui il y a au moins 4 partis indépendantistes à l'Assemblée Nationale et à Ottawa. Sur la scène provinciale ils colligent ensemble plus de 56% des votes exprimés (71% de l’électorat) lors de la dernière élection. Les Libéraux de Philippe Couillard en ont récolté 42%. 
Je l’ai dit, tout le monde le constate, c’est l’éparpillement du vote souverainiste qui a favorisé les Libéraux, et par ricochet un fédéralisme dont l'agonie s'étire au point de lasser la patience des honnêtes gens, qui n'en peuvent plus des sempiternelles chicanes et magouilles de ce panier de crabes qu'est la Chambre des Communes. 
Il n’y a pas une province qui ne souhaite sa disparition prochaine, et qui ne travaille dans ce sens. Avec ses projets d'oléoducs trans-canadiens, ses abominables coupures dans l'Assurance Chômage, ses gaspillages à coups de milliards dans l'achat et la construction de navires de guerre et d'hélicoptères, son Sénat de vieux bouffons séniles qui trichent et qui magouillent, il est certain que le gouvernement Conservateur d'Ottawa va enfoncer quelques clous de plus dans son propre cercueil.


Il faut compter aussi avec ces indépendantistes mous, geignards, pathétiques, qui reprennent les arguments de leurs adversaires, pour ainsi venir sur la place publique nous abreuver de constats démoralisants, du genre de…oui, les fédéralistes sont les plus forts…les jeunes ne s’intéressent pas à l’indépendance…c'est un projet de vieux...de baby-boomers...et patati et patata… n’importe quoi ! Puis quelques arrivistes qui se prennent pour des messies, et ne sont que de ridicules matamores, viennent en plus nous proférer des slogans nono, semer le doute dans le mouvement…bref je ne nomme personne ici, mais vous m'avez tous compris.


Vous pensez s’ils sont une aubaine pour les fédéralistes désespérés, qui retransmettent alors leurs commentaires démobilisants et désobligeants, et les réimpriment à grands titres, les amplifient jusqu'à la nausée. Radio-Canada entre autres médias de mauvaise foi, se fait une spécialité de commenter les ragots anti indépendance, coltinés par le Groupe Gesca (La Presse et le Soleil). Le tout sur le ton de l'évidence condescendante. Tout ça est petit, mesquin, retors, et en somme on nous crache dessus avec l'argent de nos impôts...que c'est donc laid ce Canada-là!

Au Québec le fédéralisme perd des plumes à chaque élection, et pas seulement au Québec. La dernière élection fédérale n’a fait se déplacer que 62% d’électeurs partout au Canada. Le score au Québec était anémique, et seul le N.P.D. , parti notoirement absent de la scène politique, a profité de l’écœurement général. Est-il seulement nécessaire ici d'insister sur le fait que cet épiphénomène N.P.D. a surpris tout le monde, et encore aujourd'hui demeure un mystère inexpliqué. On a parlé vaguement d'un possible effet Jack Layton...mais encore ?


Quant aux Conservateurs, qui n’ont récolté que 39% de ces pauvres suffrages, vous pensez qu’à l’échelle de l’électorat canadien cela ne fait même pas 25 % des gens aptes à voter, qui les appuient plutôt mollement. 

Au Québec les Conservateurs ont fait élire 5 députés. Un de plus que le Bloc Québécois, qui a récolté plus de suffrages que les Conservateurs. Quant aux Libéraux ils en ont fait élire 8. 
On ne peut pas dire que l'électeur moyen du Québec se bouscule au  portillon lorsqu'il est question du Canada et de son parlement. Les gens n'ont pas voté pour le N.P.D. parce qu'ils sont fédéralistes, mais parce que c'était à leurs yeux une façon de donner la chance à un autre parti. Vraisemblablement moins corrompu par le pouvoir, et susceptible avec son idéologie sociale-démocrate de favoriser des politiques moins débiles que la course aux armements et l'économie du pétrole. Après plus de 3 ans de cette triste expérience on constate une fois de plus qu'il n'y a rien à espérer du coté d'Ottawa, tous partis canadiens confondus.

La majorité des québécois s’en sacre complètement. Les Libéraux fédéraux ne font pas mieux que les Conservateurs, et il faut toute la mauvaise foi ponctuelle de sondages approximatifs et biaisés, concoctés pour abasourdir le citoyen, pour tenter d’y intéresser le badaud préoccupé par ses problèmes personnels.

Chiffres ? 
Une fois n’est pas coutume !
Aux dernières élections du Québec (7 avril 2014) 56,7% des québécois ont voté pour l’un ou l’autre parti indépendantiste, soit 2,404,999 électeurs.
Le Parti Libéral de Philippe Couillard a ramassé 41,52% des votes exprimés avec 1,757,071 votants.
1,78% ont voté pour les Verts, les Communistes, le Bloc Pot, et quelques autres groupuscules.

Source : Le Directeur Général des Élections du Québec.


C’est ça que vous appelez un mouvement indépendantiste qui intéresse de moins en moins les québécois ?
Parlez-moi d'une jeunesse qui s'intéresse à l'Écologie et l'Environnement hein ! Les commentateurs peu lucides qui colportent ces âneries-là, le font à partir d'une quelconque visite planifiée dans un non moins quelconque C.E.G.E.P. ou Université. Où on a interrogé 4 ou 5 étudiants apparemment plus articulés que la moyenne. À partir de quoi, avec des questions sournoises et alambiquées, on en déduit l'humeur sociopolitique de toute la jeunesse québécoise. 
Et les gogos de gober ces sornettes-là. PARCE QUE CELA A ÉTÉ DIT À LA TÉLÉVISION. Oh Là là!

Dites-moi donc ma bande de ‘’vous ôtres’’ sur quelle planète vivez-vous  ?
À moins que vous n’en fumiez que du bien mauvais ? Ou plutôt que vous ne lisez pas les bons journaux ?
Vous devriez vous purger chacun de vous avec 4 grains d’ellébore (mettez-en 8). 
À faire descendre avec une bonne tisane d’eucalyptus.

Non mais…hein !
Le 24 Juin prochain, ce n’est plus la Saint Jean.
C’est la FÊTE NATIONALE… nuance !
Clément Sauriol

jeudi 12 juin 2014

Gouverneur du Québec? Pourquoi pas!

  Suite de Facebook
Montréal le jeudi 12 juin 2014

Voici encore une fois, tous les liens qui vous aideront à mieux me connaître au cas où éventuellement il vous plairait d'appuyer un porte parole comme moi, qui s'implique depuis qu'il existe.
Je me suis présenté à la Mairie de Montréal, je pourrais me présenter comme député indépendantiste et/ou indépendant. Même si un parti politique arrivait à me recruter, je resterais indépendant (surtout au sein d'un parti) mais certainement pas le Parti Libéral du Québec ou du Canada, pas plus que les Conservateurs.

Le NPD ne m'inspire vraiment pas. Pas plus que la scène fédérale.

Reste Québec Solidaire et la C.A.Q. 
Quelque part je comprend la sympathie que ce parti-là inspire. Sa conception toute de gauche de la politique, annonce un parti-pris évident pour une nette amélioration de la Condition Humaine. Sauf qu'être de gauche et uniquement de gauche, dans une sphère politique comme le Québec, où toutes les options, sauf celles qui se targuent d'extrémisme sont présentent, condamne ce parti à la part congrue de l'opposition. 

Il y a autre chose aussi qui me chiffonne chez Québec Solidaire. C'est leur propension à se croire porteurs d'une vérité humaniste qui sent carrément l'idéologie du ''crois ou meurt''. 
Bien au-delà des prises de positions parfois courageuses de ses membres, alors que ses porte-paroles sont très articulés et vraisemblablement sincères. 
Il n'en demeure pas moins que pour ce qui est de la solidarité on a vu mieux. Si le Gouvernement de Mme Marois est tombé le 7 avril, c'est en grande partie parce que Québec Solidaire et aussi la C.A.Q. ont annoncé (tout comme les Libéraux) qu'ils allaient voter contre le budget de Nicolas Marceau. 

Ainsi Mme Marois n'a eu d'autre choix que de déclencher des élections et on connait la suite. 
La C.A.Q. a légèrement augmenté sa présence à l'Assemblée Nationale, ainsi que Québec Solidaire. Sauf qu'ils n'ont plus le moindre pouvoir. Les libéraux étant majoritaires et le P.Q. l'opposition officielle, la C.A.Q. et Québec Solidaire sont réduits à faire de la figuration. 

Comme flair politique ils sont nuls. Leurs petits calculs électoraux se sont transformés en autant de pelures de bananes. S'ils avaient été plus accommodants avec Le P.Q., pourtant leur allié idéologique, nous aurions fait l'économie d'une période infernale de 4 ans avec les libéraux.

Option Nationale  
C'est mieux comme approche idéologique, parce que plus réaliste. Ils ne sont pas plus de gauche que de droite. Ils prônent un Québec politiquement pluraliste et ils ont raison. Mais là encore leur présence à cette élection, sans planification stratégique avec Québec Solidaire, la C.A.Q. et le P.Q. aura finalement pavé la voie aux Libéraux. Les indépendantistes sont gâtés en fait de maladroits politiques. 

Au Parti Québécois 
Ils auraient bien besoin d'un homme comme moi, mais sauraient-ils écouter ce que les citoyens ont à dire ? Pas évident!

Un autre parti indépendantiste? 
Non encore, mais pourquoi pas un regroupement de tous les partis indépendantistes avec une stratégie commune? Alors là je pourrais m'impliquer.
Je vous le dis ici mi-figue mi-raisin, je me verrais assez bien comme premier Gouverneur du Québec, une fois que les Québécois auront fait leur indépendance et choisi leur mode de gouvernement. 
République ?
Parlementarisme Constitutionnel ?
Coopérative Parlementaire ?
Commune Parlementaire ?
Association de Régions Interdépendantes. (Modèle Suisse?)
Quoi d'autre ?
On y pense.
Je vous reviens sur ces passionnants sujets dans une autre chronique.
Clément Sauriol 


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lundi 26 mai 2014

Montréal le lundi 26 mai 2014

C'est avec grande surprise et une tristesse réelle que je viens saluer ici la contribution citoyenne de M. Marcel Coté. Nous étions tous deux candidats à la dernière élection de Montréal. Nous avions bien évidemment quelque chose en commun. Disparaitre ainsi à peine quelques mois après ces élections, où comme nouveau venu en politique active M.Coté n'a laissé personne d'indifférent, alors que sa prestation fut des plus honorable, est presque choquant. Il pouvait encore espérer se reprendre dans 4 ans, mais le sort en a décidé autrement.
Souhaitons que son courage, alors qu'il affrontait un électorat difficile, servira d'exemple à d'autres qui voudront eux aussi éventuellement offrir leurs services et leurs talents à leurs concitoyens. Il n'y a pas d'âge pour bien faire.
Je vous salue M.Coté et j'offre mes condoléances à vos proches.
R.I.P.
Clément Sauriol

dimanche 13 avril 2014

Questions au candidat à la mairie de Montréal du 3 novembre 2013

Montréal le 13 avril 2014

En faisant le ménage dans mes paperasses, j'ai retrouvé ce questionnaire qui m'avait été soumis par une journaliste du Huffington-Post Québec.

Je connaissais ce questionnaire de Marcel Proust, qui jouit ici et là d'une estime bizarre, parce que des questionnaires je peux vous en faire et de bien meilleurs. Mais je me suis quand même prêté au jeu, pour ne pas désobliger cette brave journaliste, qui faisait au moins l'effort de me contacter. Je n'allais pas bouder simplement parce que les œuvres de ce génie de Marcel Proust, (l'écrivain le plus ennuyeux qui soit au Monde) me tombent littéralement sur la rate. J'ai compris que cette brave dame considérait, qu'à défaut de pouvoir se faire son propre questionnaire, que celui-ci ferait l'affaire. 

Dans le fond pour ordinaire qu'il soit, il peut faire l'affaire. Le voici donc dans son intégralité. J'ai pensé que le reproduire ici pourrait être amusant, alors amusez-vous.

Le questionnaire de Proust de Clément Sauriol
Publication: 1/Nov/2013 à 14:45

Clément Sauriol est (fut) candidat indépendant à la mairie de Montréal. Il est un travailleur autonome polyvalent et il travaille présentement comme secrétaire-recherchiste pour La Corporation des Premières Assises Mondiales sur la Condition Humaine (Rallye 2000). Pour le connaître davantage, je lui ai proposé de répondre à cette version adaptée du questionnaire de Proust.

Quelle est votre vertu préférée? La patience.

Quelle est votre qualité préférée chez un homme? Qu'il soit polyvalent, c'est-à-dire qu'il soit curieux et qu'il multiplie l'acquisition de connaissances, tant intellectuelles que pratiques, tout au long de son existence. En d'autres mots, qu'il soit à la fois capable de comprendre, d'expliquer et de démontrer.

Quelle est votre qualité préférée chez une femme? L'indépendance. Une femme dominée par une idée ou une passion ressemble à s'y méprendre à un homme. Elle doit être différente. Mais bon, qui suis-je pour parler des femmes? Je peux parler d'une femme que j'ai connue, voire de deux, trois, ou dix, mais généraliser, non, ça ne colle pas.

Quelles sont vos priorités pour Montréal? Je le demanderai à autant de citoyens qu'il me sera possible de rencontrer et je ferai une synthèse de ce qu'ils souhaitent. Je suppose que je serai obligé d'élaguer les idées sottes et égoïstes, de celles qui représentent de véritables progrès. Par ailleurs, je vous engage à lire intégralement tout ce que j'ai écrit à ce sujet depuis 2 ans. Une ville ne se définit pas en deux mots. Surtout pas une agglomération de type mondiale, avec un bassin de population de plus de 3 millions d'âmes.

Quel est votre rêve pour Montréal? Que les gens s'y sentent à l'aise comme on l'est dans une demeure, disons familiale, où règne la joie et où l'on se parle en même temps que l'on s'écoute. C'est mon petit côté fleur bleue.

Quelle est votre opinion sur le projet de Charte des valeurs québécoises? Cette charte, qui fait dire beaucoup de sottises, n'existe pas. C'est un projet. On en reparlera lorsque ce projet, devenu loi, aura été voté, après discussions. Pour le moment, ce n'est qu'un sujet de conversation. Cette question, tout particulièrement, sent le piège à candidat et l'épreuve à politicien. Pourtant, il n'y en a pas de charte. Cherchez l'erreur!

Quelle ville trouvez-vous inspirante pour Montréal? L'Atlantide! Mais non, c'est une farce. On va dire Montréal, dans dix ans.

Quel serait un grand malheur pour Montréal? Que l'on se retrouve encore une fois avec les mêmes partis politiques, à faire les mêmes choses. Ce qui risque, au train où vont les choses, de nous arriver. Ainsi en ont décidé les médias. Misère!

Quelle réforme admirez-vous? Celle qui a permis aux noirs américains, dans les années 60, de se libérer de leur condition abjecte et d'être reconnus comme citoyens à part entière. Il y a encore beaucoup à faire. Cette libération, cette émancipation des individus et des peuples, on la doit au Siècle des Lumières et plus particulièrement à la France du XVIIIe Siècle. Vive la France!

Quels sont vos héros dans la vie? L'ingénieur Cyrus Smith, le journaliste Gédéon Spilett, le géographe Jacques Paganel, tous des personnages de l'œuvre de Jules Verne. Le photographe Nadar. Louis Pasteur, Enrico Fermi, Jules Vanier et des centaines d'autres, dont la famille Joliot-Curie et l'écrivain Blaise Cendrars. J'avais la plus profonde estime pour Neil Armstrong, homme d'un courage extraordinaire, ainsi que ses deux compagnons Aldrin et Collins. Quant aux réformateurs sociaux, pour qui j'ai également beaucoup d'estime, leur liste exigerait un bottin passablement long.

Quel est votre mot préféré? Quoi! Comme dans quoi donc? Ou de quoi est-il question?

Quel mot détestez-vous? ''Précédent''. Comme dans ''sans précédent''. Sotte expression que l'on entend partout et qui dénote l'immensité de la sottise, de l'ignorance, de ceux et celles qui l'emploient.

Qui choisiriez-vous pour illustrer un nouveau billet de banque? Un bébé qui suce son pouce!

Quel don de la nature aimeriez-vous avoir? Celui d'ubiquité. Ah pardon, ce n'est pas un don naturel. Dommage.

Quelle est votre devise? ''Ma grandeur se passe de l'abaissement des autres.''

Quel est votre auteur préféré? San Antonio.

Quel est votre compositeur chouchou? Pour le moment, Richard Desjardins.

Quel est votre peintre favori? Miro, comme dans mirobolant! 

Pour en apprendre un peu plus sur ce candidat à la mairie de Montréal et sur ses idées, je vous invite à consulter son blogue.
VOIR AUSSI SUR LE HUFFPOST

Merci Stéphanie

Clément Sauriol

mardi 8 avril 2014

Retour de 50 ans en arrière

Montréal le 8 avril 2014

Les élections du 7 avril ont reporté au pouvoir le parti de Jean Charest sous la gouverne de Philippe Couillard.

Nous avons donc à Montréal un libéral fédéraliste comme maire. Un parti libéral provincial majoritaire. Il ne manque plus que Justin Trudeau reporte le parti libéral du Canada au pouvoir à Ottawa.

 Nous avons devant nous quelques 4 ou 5 années qui s'annoncent difficile. À moins que l'arrogance de tous ces vainqueurs ne leur monte à la tête, et qu'ils commettent de très grave sottises.

Dur d'être démocrate!
Clément Sauriol


dimanche 30 mars 2014

Jour d'élections anticipées à Québec.

Dimanche le 30 mars 2014

Il fait une tempête hivernale avec blizzard de type janvier. On se croirait en plein hiver. Kool, j'aime beaucoup! Ça n'a pas empêché les gens de se déplacer pour aller voter.

Je mets ici les références à mon site Facebook, pour que vous puissiez aller y lire les articles que j'y ai mis, depuis que la campagne est commencée. Il y en a une dizaine et il y en aura d'autres d'ici le 7 avril.

Facebook:
https://www.facebook.com/clement.sauriol.1

Les titres des articles:



Nous sommes en élections
Titres des articles à lire avant d’aller voter le 7 avril 2014.
Chroniques du temps qui passe
1) Nous sommes en élections.
2) Le pétrole de l’Île Anticosti.
3) Les slogans : Expliquer le Monde en deux mots. (a)
4) Les slogans : Expliquer le Monde en deux mots. (b)
5)  À soir on fait peur au Monde. N'en jetez plus la cour est pleine !
6) Malaises et mesquineries. Texte de Julien Maréchal.
7) Écarts de langage, attention danger !
8) Les partis politiques, c’est du pareil au même ?
9) (a) Générations.
9 (b) Générations… suite.
À venir:
9 (c) Générations… suite.
10 (a) Le vote : P.Q.
10 (b) Le vote : Les Libéraux et la CAQ
10 (c) Le vote : Québec Solidaire et Option Nationale

mardi 11 mars 2014

La ville de Montréal c'est notre métropole : c'est important pour tous les québécois.

Montréal le mardi 11 mars 2014

 Le printemps est à nos portes
Les élections au Québec
Nous sommes en élections. Je suis à préparer une revue des activités de la Ville de Montréal. Pas seulement du point de vue administratif, mais surtout au sujet de ce qu'y vivent les montréalais.  Une fois les élections terminées je vous reviendrai ici avec des sujets passionnants.

Pour le moment ce sont les élections qui me sollicitent. Ce qui se passe est très intéressant. Il y a du débat dans l'air, et j'irais presque jusqu'à dire que ces élections-là sont plus riches, plus intéressantes que les dernières élections municipales. 
Il est vrai qu'au Québec les élection provinciales soulèvent plus les passions. C'est un tort. Une démocratie participative en santé verrait le même pourcentage d'électeurs s'impliquer, se déplacer pour aller voter, quelque soit le niveau de gouvernement. 

Mais ce phénomène est universel. L’abstentionnisme est aussi virulent aux USA (encore plus qu'ici) qu'il ne l'est en Europe, du moins aux niveaux municipaux. Mais bon je n'y peux rien, c'est vous les citoyens qui y pouvez quelque chose. Si ça ne vous intéresse pas, je ne peux pas vous forcer.

Je vous invite donc à me suivre pour le moment sur Facebook où je tiens une ''Chronique du temps qui passe ''sur les élections à Québec, presque au jour le jour.
Je vais même y donner la parole à d'autres, et surtout, oui surtout je vous la donne à vous tous. Vous pouvez m'écrire ici, mais vous pouvez le faire facilement sur Facebook. C'est prévu. 

Si vous n'avez pas accès à Facebook, mais que néanmoins vous voudriez lire mes textes, dites-le moi et je vais les mettre ici sur mon blogue.
Alors suivez le lien

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Bonnes élections à tous

Clément Sauriol